Certaines personnes sont capables de déterminer, dès la conception d’un objet ou d’un concept, son objectif et ses enjeux. Ce n’est pas vraiment mon cas. Dans le cas d’Opquast, cela fait maintenant 25 ans que je découvre de nouvelles choses et de nouveaux horizons à ce que je porte et à ce que je fais. Je tâtonne, je cherche, j’écris, je me trompe. Beaucoup.
Le modèle VPTCS date de l’année 2000. Depuis, nous lui avons découvert de multiples usages, le dernier étant l’application à la sobriété numérique.
En 2004, nous avons proposé une méthode de conception de référentiels de bonnes pratiques reposant sur un consensus à minima. Nous avons fixé nos propres règles d’écriture. Nous les appliquerons encore cette année dans la mise à jour du référentiel 2025-20030.
Concernant le parcours de certification Opquast, nous découvrons seulement maintenant les vrais enjeux de ce que nous faisons : il s’agit d’empowerment, ou autonomisation en français. Notre métier est de faire en sorte que les pros du web sachent associer des pratiques à des impacts, partagent un vocabulaire commun, sachent se projeter vers les personnes de l’autre côté de l’écran, sachent décider en connaissance de cause, gagnent en légitimité personnelle et donnent du sens à leur travail.
Nous ne sommes pas portés par une obligation légale. Alors que tout vous pousse vers des expertises en silos et en concurrence, nous allons dans le sens inverse, nous poussons la transversalité, nous rendons les silos visibles et nous nous plaçons délibérément en dessous des experts.
Ce que nous faisons est singulier, unique, c’est un mini univers d’évidences et de contre-évidences.
À l’échelle des 25 ans qui viennent de passer, ce qui se dégage et ce qui va rester, je l’espère, ce sont des modèles, des référentiels, une approche pédagogique, bref c’est une méthode formelle.
Appelons-la la méthode Opquast.
Faire connaitre cette méthode n’est pas simple, car nous dépendons en grande partie de celles et ceux qui nous comprennent et nous soutiennent. À vous qui nous comprenez et nous soutenez, merci.
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