L’un des mes principaux problèmes concernant Opquast c’est que les gens qui ont juste vu passer la check-list pensent déjà avoir compris de quoi ça cause. Tous les spécialistes connaissent ça, mais dans les métiers de la qualité, le terme est tellement courant que tout le monde se sent tout à fait compétent sur le sujet.
J’ai eu le même problème sur l’assurance qualité en elle-même. Tout le monde pense savoir de quoi le sujet retourne. Indirectement, ça voudrait dire que si j’ai suivi un bac +5 et quelques centaines d’heures de cours à apprendre des trucs qui sont juste du bon sens, j’aurais sans doute mieux fait d’aller à la plage pendant ce temps 😉.
Si vous regardez le programme d’un cursus d’une année de formation à l’assurance qualité industrielle, vous allez avoir des cours sur les certifications, l’audit, la statistique, les normes, les standards, le management, la métrologie, la mesure, la qualité en laboratoire, l’environnement, la mesure et la gestion des risques, et j’en passe.
Hé bien, toutes proportions gardées -puisque l’on parle d’une formation très courte – ceux qui suivent la formation Opquast ont aussi des compétences à acquérir, ils travaillent et ils découvrent des domaines qu’ils ne maîtrisaient pas avant de suivre la formation.
Et effectivement, se doter d’une liste de règles transversales aux métiers du web, comprendre ce qui les sous-tend, comprendre ce qui peut être et ce qui ne peut pas être utilisé auprès d’un client, savoir différencier une approche heuristique d’une règle unitaire, se doter d’un modèle UX/UI, savoir comment argumenter et comment mobiliser des règles en cours de projet, ça s’apprend.
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