Imaginez un secteur industriel où des objets produits présenteraient de multiples défauts. Ces défauts se produiraient depuis plus de 20 ans. Il pourraient apparaître à tout moment, soit dès la sortie du produit, soit pendant son utilisation. Ils pourraient être liés à des oublis, à des aléas, à des éléments qui cassent, des services qui ne se comprennent pas ou communiquent peu, des personnels peu formés, des besoins utilisateurs mal compris. Les utilisateurs s’en plaindraient régulièrement.
J’ai une mauvaise nouvelle :
Le secteur industriel que je décris, ici c’est le web d’aujourd’hui. Tous les jours, la piètre qualité des services web pose des problèmes aux utilisateurs et souvent les exclut.
Mais j’ai aussi de bonnes nouvelles : le secteur industriel que je décris ici, c’est l’aéronautique dans les années 1940, l’automobile ou l’audiovisuel dans les années 1970.
Aujourd’hui, vous pouvez prendre l’avion de façon assez sereine, le nombre de voitures arrêtées sur le bord de la route n’a rien à voir avec celui des années 70 et vous n’avez pas vu la mire audiovisuelle depuis des années. La non-qualité n’est pas une fatalité. Pour supprimer les défauts récurrents, les secteurs que je décris ci-dessus ont mis en place des approches formalisées de contrôle, d’assurance et de management de la qualité. Ils ont nommé des équipes pour prévenir les défauts et éviter leur apparition.
Il est temps de faire de même dans le secteur web, c’est de l’assurance qualité pour le web et Opquast est là pour vous aider.
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Hum…
Serions-nous donc les cobayes? Comme pour les voyageurs en train de 18.., en avion de 194…., comme les téléspectateurs de l’ORTF?
Ou bien des collaborateurs conscients de participer à la co-construction d’un monde meilleur?
C’est beau, Elie. Continue.
@Fausto. J’ai trois choses à te dire :
Merci
J’ai parlé de toi cette semaine
J’ai envie de te revoir.
Belle NL. J’ai particulièrement apprécié l’edito (#komdab) et l’article sur l’écriture inclusive, très éclairant !
Merci Élie 🙏