Voici l’édito du numéro N°96 de la newsletter Opquast
Ces derniers temps, je vous parle souvent des coûts de non qualité, c’est d’ailleurs encore le cas dans un article paru récemment à ce sujet sur le Journal Du Net.
Au delà des questions purement économiques, les démarches assurance qualité web ont d’autres impacts potentiels sur l’organisation. Il s’agit tout simplement de faire mieux, plus rapidement et avec moins de difficultés.
Lorsque des équipes web ne se comprennent pas, lorsque les clients et les prestataires n’ont pas les mêmes exigences, lorsque les projets web stagnent ou patinent, lorsqu’il faut refaire tout ou partie d’un site, lorsque les membres d’équipes démissionnent ou au contraire lorsqu’ils s’intègrent difficilement dans une équipe, c’est toute l’organisation qui ralentit. C’est aussi des difficultés pour une partie des humains qui la compose.
Cela ne se traduit pas seulement par une dégradation du service rendu aux utilisateurs finaux et par des pertes économiques, mais aussi par une perte de vélocité, une lenteur à réagir, à produire et à s’adapter, une charge de travail qui se déplace de la conception et l’innovation vers la maintenance et la correction. C’est aussi des équipes moins agiles, moins efficaces, moins rapides.
Comme dans le cas de la non-qualité, ces pertes de vélocité, d’agilité et d’efficacité ne se voient pas, elle sont discrètes et pénibles. Il est confortable de regarder ailleurs ou de s’y pencher par petites touches. Mais pour des entités qui ont vraiment la volonté d’améliorer leur efficacité opérationnelle, lancer une démarche d’assurance qualité n’est pas qu’un choix, c’est une obligation.
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