Le DSI, c’est le Directeur des Systèmes d’Information. Très souvent, pour lui, le Web n’est pas un cadeau : remise en cause permanente de l’existant, ouverture considérable du système d’information vers l’extérieur, possibilité pour les personnels d’être à la fois productifs ET incontrôlables. La zone, quoi 😉
Alors, parmi les DSI, il y a ceux qui subissent, ceux qui anticipent et ceux qui font subir.
François Nonnenmacher, qui connait bien le sujet, nous brosse un tableau caractéristique de la présence du pire modèle actuellement en circulation : le DSI qui subit et fait subir à la fois. Ce DSI, souvent en poste dans de très très grosses entreprises, a été formé aux technologies Web en 1972. Aussi, il a un peu de mal à suivre. Pour compenser, il manie essentiellement deux armes léthales pour la productivité de l’entreprise et pour son potentiel d’innovation : le PALC (Proxy A La Con) et l’utilisation d’Internet Explorer dans sa rutilante version 6 (qui date un petit peu de 2001 quand même, avec une dernière mise à jour en 2004, 5 ans déjà, comme le temps passe).
Allez, faites-vous plaisir, lisez moi ce billet de notre Padawan préféré.
Merci pour la mention. 🙂
« Ce DSI […] a été formé aux technologies Web en 1972. Aussi, il a un peu de mal à suivre. »
J’adore !
Souvent aussi le dsi a toute une brigade de potes de classe (oui ceux de 72) qui bossent chez X ou Y et qu’il faut bien faire travailler.
Notamment Websphere d’ibm est de loin le meilleur logiciel ecommerce …